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Victime de violence conjugale ... aujourd'hui, on me retire mon enfant !

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Décembre 2004

Bonjour à toutes,

C'est aujourd'hui, la maman d'un petit garçon de 13 mois... effondrée et atterrée qui s'adresse à vous.

En concubinage avec un homme qui a quitté sa région pour venir s'installer à mes côtés, ce dernier souhaite rapidement devenir papa.
De belles paroles, de beaux projets... des bouquets de fleurs avec des biberons... tout me laissait à croire à son amour pour moi et à ce désir de paternité.
En février 2003, pour mon plus grand bonheur j'aprenais que j'étais enceinte.

Très vite je me retrouve à continuer de tout gérer en plus de ma grossesse et de tout ce que ça implique... suivi médical, boulot, trouver un logement plus grand, prévoir la garde etc...

Au bout de 4 mois de grossesse, le monsieur commence à devenir odieux avec moi... Insultes continuelles ("salope, connasse, poufiasse, grosse vache, dégage, tu m'emmerdes" etc... que tu respect à mon égard en privé ou devant sa famille), gestes violents, empoignades... je crains pour le bébé et pour moi. Je lui dis donc que s'il a changé d'avis, je le comprendrai et ne demanderai rien pour le bébé... il pouvait partir.
Je préférais une séparation même enceinte plutôt qu'à un quotidien qui rendait ma grossesse invivable. Il n'a pas voulu et est resté.
Durant ces 9 mois, j'ai passé 80% de mon temps à pleurer... Pourquoi m'avait-il demandé un bébé pour réagir ainsi avec moi ? Pourquoi ai-je accepté d'avoir cet enfant avec lui ? Mon moral était tel que je retrouvais dans l'incapacité d'assumer mon travail durant ma grossesse, je fus donc arrêtée rapidement.
Certains de ses propos me choquent... "il aura intérêt à filer droit sinon je le corrigerai"... je rétorque, "il faudra me passer sur le corps avant...". Comment un père peut-il dire ceci à une mère ?

Enceinte de 6 mois... il se mit dans une colère noire parce que je n'avais pas fais le ménage ce jour là... il m'empoigna et me repoussa contre le coin d'un meuble. J'eu peur.
Un peu plus tard, il me coinçait contre un mur, levait la main en l'air au dessus de mon visage en me regardant, avec un air de tueur... il allait me frapper. Voici ma grossesse.

Malgré tout ceci, je lui trouvais toujours des excuses... difficile de changer de région, difficile d'avoir un emploi stable etc... je revenais toujours vers et parvenais à prendre sur moi et à relativiser.

Le 31 octobe 2003, je mis au monde mon petit garçon... et ce fut un bonheur indescriptible...
A 10 cm de notre lit, le papa n'entendait jamais notre fils pleurer... moi si.
Il ne peut pas aller aux visites médicales du petit... moi si.
Il ne veut pas s'occuper de l'histoire de garde... moi si.
etc...

Depuis la naissance de mon fils mes journées sont rythmées par un levé à 05h30, mon travail, le soir récupérer le petit chez la nourrice, le donner le bain, le faire manger, passer un moment avec lui.. une fois au lit... s'occuper du père, le faire manger etc.... le temps de m'occuper de moi arrive vers 22h30, heure à laquelle je suis exténuée et je vais me coucher sans manger.

Un jour je vais faire les courses et laisse mon fils avec son père, il avait 2 mois. En rentrant, je truve mon fils à hurler dans son lit... je demande au père ce qu'il se passe "il fait un caprice, laisse-le"... Comment un bébé de 2 mois peut-il faire un caprise ?? je savais aux pleurs de mon enfant que quelque chose n'allait pas... je vais pour le prendre au bras et le réconforter... sa couche est pleine à déborder.

Mon fils a 4 mois alors qu'il tombe malade pour la première fois... un simple rhume mais qui évolue mal... en rentrant du travail, je passe à la pharmacie où l'on me donne un sirop.
En rentrant à la maison, le père me dit... "je lui ai donné du sirop"... alors je lui réponds, "mais quel sirop ? Il n'en n'a pas encore... ?!"
Je découvre qu'il lui a administré du sirop pour adulte à base de carbocistéïne... c'est de ma faute, il était mal rangé... Je lui demande quelle quantité il lui a administré au cas ou je doive amener mon fils aux urgence... il me répond en souriant "toute la bouteille".

Il devient de plus en plus odieux... ma liberté est de plus en plus réduite...
En Mars 2003... un soir je prends peur... je m'enfuis et pars me réfugier chez mes parents... je leur dévoile tout... la violence morale et psychologique... il me fait peur. On ne me croit pas.
En rentrant j'ai peur de rentrer chez moi, je panique et pars me réfugier au commissariat : 1ère main courante...
Je rentre à la maison... il a confié notre fils à la voisine sous prétexte que j'étais partie... Il n'a pas daigné s'en occuper.

Mon fils a 6 mois et nous avons enfin un logement plus grand... je pense que cela pourrait aider notre couple...
Mais il n'en n'ai rien... Monsieur change de situation professionnelle grâce à mon aide et devient stable... son emprise sur moi aussi.

Juin 2004... alors que ses parents se trouvent dans la pièce d'à côté, il explose de colère au sujet du diner que je prépare pour tout le monde (car mon rôle est celui de maman et bobonne)... il crie, m'insulte, m'empoigne et me pousse violemment contre la porte vitrée de la cuisine... je me fais mal à la colonne... je suis sous le choc... interloquée... je pleure et je ne parviens plus à respirer correctement... je pars m'enfermer dans la chambre. Ensuite je sors dehors prendre l'air et retrouver mes esprits.

Le lendemain... je constate les bleus sur mon corps... je n'avais pas réalisé que j'en avais autant...
Mais je fais face... le temps passe...
Notre relation se dégrade au fil du temps... puis une période d'accalmie apparait... je me dis que le couple se stabilise.... malgré quelques écartades de colères de cet homme...

En aout 2004... ses parents viennent quelques jours...
Je n'en peux plus, il est odieux encore et toujours... je suis peu de chose à ses côtés... je sature, je ne supporte plus toute cette humiliation et cette atmosphère lourde et pesante... je ne parviens plus à vivre dans la crainte... Je me réfugie à nouveau au commissariat et décide de passer une nuit à l'hôtel car je ne supporte plus sa présence à mes côtés...
Un ami au courant de ma situation m'appelle et me dit que je ne peux continuer dans cette situation... il tente de me réconforter, de me raisonner... mais je passe toute la soirée à pleurer dans cette chambre d'hôtel, toute seule.

Mi août... je réalise que ça ne peut plus durer... je crains pour notre avenir à moi et mon fils en voyant cette violence morale et psychologique évoluer vers la violence physique.
Pour moi, hors de question que mon fils soit témoin de ce genre de scènes.

J'entame une procédure de séparatation (pas de mariage)... j'engage un avocat et entreprends toutes les démarches nécessaires... j'informe la police de mes intentions en raison de la situation : nouvelle main courante. Tout se fait discrètement afin de ne pas provoquer de réaction violente chez le père... mais je le lui annonce et lui explique pourquoi je le quitte, où je vais etc... je lui explique que dans l'intérêt de notre fils nous devons tout faire pour que tout se passe au mieux... je ne ferai pas obstruction pour qu'il voit son fils etc...
Cet homme pleure chaque jour, il ne veut pas que je parte... je dois lui laisser une seconde chance... je pourrai faire tout ce que je veux... il m'aime..; il ne veut pas que je parte... etc... mais mon corps et mon coeur sont brisés... je ne peux plus revenir cette fois, vers lui.

Et en fait... je m'enfuis ni plus, ni moins à 1200 km du papa, mais toujours en France... je pars me réfugier chez cet ami qui me soutient et m'aide.
La séparation est un cauchemard... tantôt l'homme épleuré, tantôt l'homme menaçant... il me menace de porter plainte contre moi et l'ami qui m'a aidé, de me retirer mon fils, etc... menaces, chantage, pression... harcèlement téléphonique à toute heure...
Je me rends à la gendarmerie du coin : 1ère plainte pour "appels malveillants"... le gendarme fait état de ma situation, et de tout ce qui se passe depuis mon départ.
Mais il n'arrête pas... il me torture psychologiquement... ne débourse aucun argent pour son fils... mais je lui paie un nouveau siège auto, participe aux frais du logement qu'il habite ect...
Malgré tout, je lui envoie plusieurs courriers (copie à mon avocate) pour lui demander ses congés afin de lui amener le petit... car je pense avant tout aux intérêts de mon fils qui doit continuer à voir son père... aucune réponse de sa part.

Le 23 octobre 2004... mon avocate propose à la sienne que je lui confie le petit 5 jours puis 3 semaines par la suite.. je prépare donc le premier voyage, fais nos sacs en sachant que pour des questions pratiques je vais devoir rester géographiquement près du père les 5 jours, j'ai donc nos billets d'avion.
le 23 octobre au matin, je découvre 6 messages du père laissés entre 00h05 et 03h15 du matin... je dois lui apporter le carnet de santé, le livret de famille, il est hors de question que je reparte avec notre fils le 28, je repartirai seule, il est hors de question que je fête l'anniversaire de notre fils le 31, je peux tout annuler...
C'est un samedi, je ne peux joindre mon avocat... je panique et ne sais que faire... je vais demander conseil à la gendarmerie... 2ème plainte. Ils écoutent les messages me déconseillent de lui confier l'enfant dans ces conditions ; ils le trouvent "pas net".

J'annule le voyage et mon avocate annonce à la sienne qu'étant donné ce qui vient de se passer aucun arrangement n'était envisageable jusqu'à l'audience... je change de numéro de téléphone comme on me le conseille.
je suis accablée par tout ceci et culpabilise en plus parce que mon fils ne peut voir son père. Ce 23 octobre, la gendarmerie me conseille d'aller voir un médecin car je me sens au plus mal. Ce que je fais et je leur rapporte un certificat.

Le père ne demande aucune nouvelle de son fils... il ne sait pas qu'il commence à marcher, il ne sait pas que j'ai du aller à 2 reprises aux urgences avec lui... il ne sait rien.

Le 6 décembre 2004 : Jour de l'audience à 15h00.
Le matin jeme rends au bureau de mon avocate pour préparer l'audience... elle vient de recevoir le dossier adverse et me le mets sous les yeux... je découvre un tas d'attestations de complaisance (pour ne pas dire des faux). le père a fait attesté par sa famille et par de gens qu'il n'apprécie pas ou ne connait pas qu'il est un père formidable et moi une mère irresponsable et instable... il a tout organisé pour obtenir la résidence... et demande une enquête sociale ou médico-psychologique.

Je m'aperçois que l'avocate qui me défend ne vaut rien. J'aurais mieux plaidé à sa place.
C'est la catastrophe... le juge me trouve "légère" parce que j'ai mis de la distance entre un père et son fils... elle pense que j'ai fais obstruction etc...
Mon avocate est quasi inéxistante... je tente de me faire entendre mais me heurte à l'autre avocate et au père de mon fils...

Je sors de l'audiece en pleurs. Je suis passée sur le banc des accusés.
Toutefois, il me reste une chance... que le juge en examinant mon dossier réalise la situation et le contexte dans lequel j'ai vécu... qu'elle voit, les mains courantes, les plaintes, l'attestation de l'assistante sociale, les certificats médicaux etc... et je trouverais logique qu'il y ait une enquête afin de voir dans quelles conditions mon fils peut vivre à mes côtés.

Ce 14 décembre 2004 : La décision de la Cour
Une enquête va être déclenchée (sociale ou psycho, je ne sais pas encore) le rapport doit être rendu dans 4 mois maximum. Elle sera aux frais du "perdant".
Entre temps, le père a la garde...
Je peux avoir mon fils 1 semaine par mois...
Tous les voyages, je dois les faire et sont à mes frais...

Conclusion... le juge n'a absolument pas tenu compte de mon dossier. C'est aussi ce qu'on appelle une "pro-papas". On me retire mon fils parce qu'un jour j'ai eu le cran de faire face à son père et de partir pour nous protéger...et chercher le bonheur ailleurs. Parce que j'ai voulu me reconstruire.
Personne autour de moi, n'a jamais vu une telle décision ! Comment peut confier à un père un enfant aussi jeune en le retirant à sa mère alors qu'il y a des plaintes, sans même ordonner une enquête AVANT !??
Tout simplement parce que l'on n'a pas pris en compte mon dossier.

On me fait payer le prix de mon courage et de la Liberté.
Et mon petit garçon de 13 mois dans tout ça ?

Bien évidemment, je suis effondrée... car vous pouvez imaginer le déchirement que je ressens et l'injustice qui rode autour de moi...

Mais.. même la mort dans l'âme je me battrai jusqu'au bout pour récupérer mon fils et rétablir la vérité !! Et que justice soit faite !!!

Alors si certaines veulents se joindre à moi durant ce combat pour lequel je suis toute seule, vous êtes les bienvenues ! Réconfort, conseils, amitié... n'hésitez pas car vous me serez utile sachez-le !!

Merci à toutes de m'avoir lu.
Merci de publier mon histoire en messge d'espoir, qu'il me porte chance.

nouche5@yahoo.fr

 

Février 2005

Merci à toutes celles qui m'ont apporté leur soutien par mail...

Voici quelques nouvelles de moi et mon petit garçon...

Décision écrite reçue en janvier 2005…
Le papa a obtenu la garde provisoire parce qu’il a des fiches de salaire (et que moi j’ai ma carrière entre parenthèses pour m’occuper de mon fils parce que mon nouveau conjoint m’en offre la possibilité) et a proposé un mode de garde (et moi aussi j’ai expliqué en avoir un… sa maman et la garderie…)…
Alors on laisse le petit garçon à son papa… et la maman, et bien tant pis ! Elle n’avait cas pas partir, ça lui apprendra !
On me punit.
Bravo la justice française !

Bien évidemment, grâce à la Justice française, j’ai dorénavant affaire à un père qui jubile, se sent très fort et poursuit son humiliation en tout légalité !
Je dois me plier à ses 4 volontés ; venir chercher mon fils à l’heure qu’il décide et le lui ramener quand il le veut. C’est SON avocate qui a fixé le calendrier des gardes… et moi ? Je n’ai qu’à bien me tenir sinon, dixit mon ex… « …j’appelle la police et je préviens le juge… si t’as pas compris avec le juge, ben on va recommencer !!! ».

Alors, je vais et viens entre mon domicile et celui de mon fils…
Je passe la plupart de mon temps dans les avions, pourquoi ? Pour passer les quelques jours auxquels j’ai droit en compagnie de mon petit garçon… de maintenant 14 mois ½… et je n’ai rien à dire…
Parce que bien évidemment, dixit le papa : « je te ferai pas de cadeaux ! ». Donc bien sûr sans penser à minimiser les voyages pour mon fils… plus il m’en fait faire à mes frais, plus il est content…mais… notre fils dans tout ça ?

En janvier 2005, j’allais profiter de ma première garde… je n’avais pas vu mon petit gars depuis 3 longues semaines… et je découvris un petit homme qui marchait tout seul pour la première fois ! Je n’ai pas eu la chance de voir ses premiers pas…

Il est très perturbé…
Lors que suis avec lui, il me demande sans cesse les bras… refuse de s’endormir sans ma présence et ne mange pas bien… comme s’il craignait que je le laisse à nouveau… je m’inquiète… je ne reconnais pas mon petit garçon si gourmand et plein de vie…
Pourtant… il me sourit sans cesse… se souvient de nos petits trucs, comme cette grimace que nous nous faisons en signe de connivence… son Lapinou que je lui apporte à chaque fois et auquel il fait des câlins…
Mais lorsque je suis trop inquiète, nous allons voir le pédiatre… il me dit que c’est le changement qui le perturbe..
Je suis à 1200 km de mon fils… je n’en n’ai plus la garde le temps de l’enquête… pourtant je continue à m’occuper de sa santé et à chaque venue m’occupe de ses vaccins…Bravo le papa !

Ce 11 janvier 2005, le père de mon fils m’appelle. Je sais que s’il téléphone c’est parce qu’il a besoin de quelque chose…
Bingo ! L’assistante maternelle qui avait attesté qu’elle garderait le petit, ne veut plus le garder ! C’est étrange… parce que moi, je n’y ai jamais cru…
Le papa… me demande de récupérer notre fils, le temps qu’il trouve un autre mode de garde… ce que j’accepte à la condition qu’il me le notifie par écrit car c’est lui qui a la garde provisoire. Il prétexte ne pas avoir le temps de me faire cet écrit et me dit qu’il me le fera sur place. Je n’ai pas confiance en lui et refuse de me déplacer sans confirmation écrite… il serait bien capable de m’accuser d’avoir enlevé notre fils…
Depuis ce 11 janvier 2005… il a disparu…
Je n’ai plus aucune nouvelles de mon ex et encore moins de mon fils…
Je ne parviens plus le joindre, je n’accède même plus à sa messagerie pour lui laisser un message… je ne peux plus parler à mon fils… RIEN.
Etait-ce juste pour me faire croire que j’aurai mon petit garçon ?
Il joue avec moi…

Ayant persévéré plusieurs jours… inquiète de savoir ce qu’il se passe… qui garde mon petit garçon ? Dans quelles conditions ? Où se trouve-t-il ??
J’envoyais une lettre à l’assistante sociale de la commune où réside mon fils et allait en aviser la gendarmerie au cas ou il arrive quelque chose…

Légalement, il n’est pas tenu de me répondre ou de me tenir informée de quoi que ce soit… Humainement… je n’en parle pas, car il n’a aucune qualité humaine.
Il met de la distance entre mon fils et moi… et fais en sorte de couper les liens. Il le conditionne à sa famille…

Je pars dès aujourd’hui pour Paris… et vendredi je dois avoir mon fils… mais… sera-t-il là ?

Malgré la tristesse que j’éprouve pour mon petit garçon qui est considéré comme un objet de rancœurs par son père… mon mal-être à vivre séparée de lui… les angoisses de croiser mon ex, ne serait-ce que quelques secondes au moment de ma garde etc…
Je continue de me battre.

Nouvelle avocate, nouveau dossier… nombreux témoignages en ma faveur d’amis, de ma famille, de professionnels, de collègues… une mobilisation autour de moi… les gens sont révoltés, atterrés… ils ressentent l’injustice dont je suis victime.

A vue des attestations que mon ex a faites faire… de graves accusations non fondées ont été portées contre moi : je laisse mon enfant seul lorsque je pars faire des courses, je découche régulièrement, il y avait un défilé d’hommes chez moi (limite prostituée), mère indigne, irresponsable et sale….
Mais où sont les preuves ?? A-t-il été signalé cette négligence auprès des services sociaux ou des autorités ? Etc…
Non… car en fait il n’y a aucune preuve… puisque tout ceci est faux.

C’est étrange de faire appel à ce genre de Maman au moindre problème de garde alors qu’elle est incapable de gérer le quotidien d’un enfant… c’est surprenant de dénigrer autant cette femme et de l’appeler au secours… non ? Pas très cohérent me semble-t-il…

Il y a donc cette procédure de séparation… mais si le père de mon fils persiste à me dénigrer, à me souiller, à me faire passer pour quelqu’un que je ne suis pas… je porterai plainte contre lui pour diffamation et ainsi que contre les personnes qui ont écrit ces ramassis de mensonges… car qui dit fausses attestations, dit suites pénales, la Loi est très claire à ce sujet.
Je continue de me battre.

Cette enquête sociale faite pas un psy est une bonne chose… tout va être dévoilé… mon ex ne pourra plus se cacher derrière son sourire manipulateur…
J’ai ce qu’il faut en ma possession pour démontrer et prouver les manipulations et les mensonges de mon ex… je vais faire ressurgir le passé…

A l’issue de cette enquête, de la prochaine audience… si la résidence de mon fils est fixée chez le père, je ferai ce qu’il faut contre ce juge car tous sont d’accord… famille, relations, professionnels… mon fils doit me revenir rapidement.
Une telle décision de la part de ce juge reviendrait à condamner mon fils ! Le condamner au manque de respect, au racisme, à ne pas faire d’études, à la colère etc… car tel est son père et sa famille : schéma familial.
C’est hors de question ! La justice doit ouvrir les yeux et préserver ce petit garçon !
Je continuerai donc à me battre pour le bien-être de mon fils.

Merci à toutes.

nouche5@yahoo.fr

25 mai 2005 : Nouche a créé un site : http://www.kokoom.com/moncombat/

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